♕ Promesse d’aujourd’hui: «L'Éternel ouvre les yeux des aveugles; L'Éternel redresse ceux qui sont courbés; L'Éternel aime les justes». Psaumes 146:8
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La semaine dernière, nous avons encouragé chacune d’entre vous à renoncer à lutter, à souffrir ou à essayer de contrôler vos sentiments, et à la place de porter chacun de ces sentiments négatifs au Seigneur.
Combien d’entre vous ont commencé à le sentir assis juste à côté de vous? Combien d’entre vous ont réalisé qu’il attend patiemment de dire sa vérité d’amour, de pardon et de merveilleux plans qu’il a pour votre avenir- dès que vous lui apportez tout sagement?
Ceci est important parce que c’est lorsque les femmes ignorent comment expérimenter une véritable guérison lorsqu’elles essaieront de se soigner par d’autres moyens pour calmer la douleur.
Jérémie 8:22 (BDS)—
«N'y a-t-il pas de baume en Galaad? N'y a-t-il pas de médecin là-bas? Pourquoi donc la guérison de la fille de mon peuple n’intervient-elle pas?»
Ce que la plupart des personnes “bonnes” font pour éliminer nos sentiments négatifs, c’est à travers des oeuvres, qui placent simplement un pansement (ou du sparadrap) sur nos blessures émotionnelles. Un bandage nous aide à ne plus voir la blessure et nous permet de faire de bons travaux pour nous aider à réparer ce que nous avons fait de mal. Souvent, si cela continue, nous commençons à étendre nos travaux et bientôt nous sommes simplement “religieux” en veillant à faire savoir à tout le monde ce que nous avons fait ou faisons ce qui est religieusement correct.
Permettez-moi de vous donner un exemple récent. Nous n’avons pas réellement vu ou su d’un de nos ministres qui ait “péché” mais son comportement suggère que quelque chose s’est produit. Ce que nous avons remarqué, c’était des éloges fleuris et moelleux que nous pouvions sentir vides. Bientôt, elle a doublé sa “dîme”, mais aussi elle s’est assurée d’écrire et de publier des commentaires à ce sujet à chaque opportunité. Ensuite, elle a annoncé qu’elle jeûnait, pas seulement une fois, mais partout avec tout le monde.
Permettez-moi de m’arrêter un instant et d’expliquer qu’elle n’a pas compris aussi, que si vous doublez ce que vous donnez comme dîme, ce n’est plus une dîme, mais il s’agit d’une dîme et une offrande. Parce que le mot dîme signifie 10%, donc tout ce qui précède devient votre offrande.
Comme vous vous en souvenez, Malachie 3:8-10 nous dit, «Un homme trompe-t-il Dieu? Car vous me trompez, Et vous dites: En quoi t'avons-nous trompé? Dans les dîmes et les offrandes. Vous êtes frappés par la malédiction, Et vous me trompez, La nation tout entière!»
Donc, oui, c'est fantastique de redonner plus au Seigneur, en commençant à donner non seulement votre dîme mais une offrande. Mais c'est pourquoi vous donnez. C’est toujours pourquoi nous faisons tout ce qui compte parce que la raison pour laquelle nous faisons quelque chose est le reflet de ce qui est dans nos cœurs.
Le jeûne doit également être fait en privé, entre vous et le Seigneur, comme it est dit dans Matthieu 6:16-18
Pourtant, chacune de ces situations n’était pas ce qui nous préoccupait parce que chacune n’était que des symptômes de ce qu’elle essayait de cacher et de mieux se sentir. Le Péché. Et que ce soit un grand ou petit péché OU ce qui peut être un mensonge complet, c’est douloureux, à cause de la honte, donc il doit être amorti.
Souvent, l’ennemi connaît votre désir ardent d’avoir raison avec le Seigneur, donc l’ennemi plante intelligemment des mensonges, ce qui conduit à se sentir coupable, ce qui, si vous ne vous adressez pas au Seigneur, conduira à la condamnation, ce qui conduira à la honte, ce qui amènera à vouloir se cacher derrière de bonnes “oeuvres”
Et une fois que nous essayons de couvrir ce dont nous pourrions être facilement guéris, si nous le confessons, nous nous dirigeons plutôt vers une pente descendante en spirale, car nous portons nos propres charges.
Permettez-moi de partager un exemple que j’ai vécu en aidant ma soeur aînée, pour vous aider à comprendre ce principe avec plus de clarté. Pendant des années, il était impossible de vivre ou d’être près de ma soeur. Ses humeurs étaient explosives et on ne savait jamais quand elle soufflait. La seule façon de la traiter était donc de l’éviter dès que l’on pouvait. Dû que j’ai neuf ans de moins, je n’ai jamais vraiment su qu’elle n’a pas été toujours comme ça, car depuis le moment où je suis née, il semblait que c’était une soeur que vous n’aviez jamais voulu traverser ou prendre du mauvais côté.
Plusieurs années plus tard j’ai découvert la vérité. Un jour, elle m’a appelé et elle sanglotait. Il lui a fallu une éternité pour exprimer ce qu’elle appelait à dire. Je pouvais l’entendre dire une fois et encore une autre fois quelque chose entre ses sanglots “si seulement tu savais”...
Après ce qui semblait être une éternité, elle a pu finalement me dire d’un murmure qu’elle avait eu un bébé quand elle était adolescente et qu’elle l’a donné pour adoption. J’étais stupéfait. Pas à cause de ce qu’elle avait avoué, mais stupéfait parce que je n’avais jamais réalisé qu’elle pensait que je ne le savais pas. Non, nous n’en avons jamais discuté. Elle ne l’a jamais mentionné, alors bien sûr, je ne l’aurais plus fait.
Dès que je lui ai dit gentiment: “Mais je le savais déjà”, elle s’est arrêter de pleurer. Elle était à la fois choquée et soulagée. Cependant, presque immédiatement, son désespoir a recommencé à la consumer quand elle a dit: “Mais attendez que mes enfants le découvrent, ils me détesteront!!”. J’ai dit qui si un deux le savait les autres aussi et je savais qu’un de ses enfants le savait parce qu’ils m’en avaient parlé.
Toute sa vie, elle avait porté la charge d’un “péché” que personne ne lui reprochait. Jamais une fois en discutant cette malheureuse situation, aucun de mes frères et soeur ni sa fille n’ont parlé d’elle d’aucune manière. Le contraire était vrai, nos coeurs se sont brisés pour elle. Nous avons convenu qu’il serait si difficile de vivre en sachant que vous aviez une fille adulte vivant quelque part que vous avez vu pour la dernière fois quand elle était un tout petit bébé.
Toute cette situation a été révélée dans les émissions de télévisions, la honte, la culpabilité et la condamnation des mères célibataires (et parfois des papas) lorsqu’elles se trouvent dans la même situation —abandonner un enfant à la naissance. Mais la vraie tragédie, ce sont les émotions négatives que la personne porte avec elle si lourdes et si douloureuses, qu’elles peuvent gérer de toutes les manières possibles. Souvent des éclats d’explosions, souvent médicamenteuse, c’est le chemin que ma soeur a empruntée et ce qui a entraîné d’autres complications.
Rappelez-vous, tout cela est dû aux émotions négatives provoquées par les mensonges de l’ennemi alors qu’il raille et se moque de votre péché —quand il y a un Père Céleste qui veut que chacun de nous rampe sur se genoux pour nous dire que tout va bien. Ou peut-être c’est un mari qui vous attend pour se promener avec vous le long d’un chemin calme afin qu’il puisse vous dire la vérité, alors qu’il ouvre les bras pour qu’il vous rappelle que vos péchés ont déjà été cloués sur une vieille croix robuste.
La semaine prochaine, je partagerai un autre exemple d’une autre dissimulation pendant que vous méditez sur ce que vous avez appris. ET assurez-vous que vous ne pensez pas que à ce que vous avez appris, mais que vous faites un rendez vous avec votre mari pour être seul avec lui et lui demander de partager avec vous comment ce message s’applique à vous.
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